La République Démocratique du Congo joue un role préponderant à la Conference de Durban en Afrique du Sud sur la régulation du changement climatique en Afrique,à cause de près 145 millions des forets tropicaux dont elle dispose,
selon les experts du ministère de l’Environnement qui représentent la RDC à cette grand messe internationale regroupant les les activistes de l' envronment venus des divers coins de la planete.Les forêts congolaises emmagasinent un nombre important de gaz carbonique ou CO2
Ces séminaristes réfléchissent du 28 novembre au 9 décembre prochain sur les srtatégies d' attenuation d' émission de gaz à effet de serre par les pays du tiers monde et les pays industrialisés, des mesures de regulation de l' exploitation agroferstiere et la lutte contre la degradation des aieres vertes.L' objectif visé est de limiter le rechauffement climatique qui entraine comme antre autres phenomenes, des inondations, des cyclones, des vagues de sécheresse, des ouragans, des plies torentielles ou encore l’élévation du niveau de mer.
Selon les experts du ministere e l' environnment congolais, la RDC se trouve en bonne position pour bénéficier des financements issus du processus de réduction des émissions des gaz dues à la déforestation et à la dégradation des forets (REDD) étant donné les granes avancées enregistreé dans la phase premierede ce processus consacrée à l' intergration .
La RDC aura le privilege de brandir l’étendue sa cuvette et quelques projets réalisés dans le cadre du stock de carbone grace à quelques forêts artificielles créées pour cette fin, telle que notamment, le projet Ibi sur le plateau de Bateke à Kinshasa.
Pour rappel la RDC a organisé au cours de cette année, à Kinshasa, l’institut REDD+ et du forum de haut niveau sur la forêt et le changement climatique, deux activitées grandioes qui lui ont remonté sa cote sur le plant mondiale en matière de discussiion sur la question de la REDD.
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