
Ce forum qui a été reparti en 10 sessions a été organisé par le gouvernement congolais par le bais de la Coordination nationale chargée de la REDD( CN-REDD) dans le objectif de sensibiliser le monde intellectuel congolais sur les questions du changement climatique observé actuellement a travers la planète à cause le notamment de la déforestation et dégradation des forets émettant des Gaz à Effet de Serre(GES).
Différemment de l’édition précédente cette deuxième édition a eu l’avantage de passer en revue les avancées des différents chantiers des quatre composantes de la feuille de route de la RDC, dans sa préparation à la REEDD et de réfléchir sur les opportunités et les défis à relever par le pays.
Des différentes présentations qui ont couvertes cette université, les participants ont retenu entre autres que la REDD, entendez la Réduction des Emissions dues à Déforestation et la Dégradation , constitue un concept encore émergent sur le plan mondial et constitue un processus repartie en trois phases importantes. Il s’agit de la phase de préparation, la phase de mécanisme ainsi que celle d’ investissement. La RDC quant à elle se trouve actuellement en phase de préparation à ce processus où elle s’active à l’élaboration de sa Stratégie Nationale pour le REDD. Un document qu’ elle est sensée achever d’ ici 2012.
Selon le Professeur Vincent Kasulu, Directeur à la CN- REDD et un des conférenciers, la RDC par rapport à plusieurs Etats africains encore en période préparatoire, a déjà connu des évolutions significatives qui lui donne actuellement le rend de Leader dans les négociations internationales sur les questions de la REDD .
Avec son Plan de Préparation à la REDD(R-PP) qui a été approuvé par les bureau des Nations unies chargée de la Redd ,la RDC a reussi pa le canal de sa CN-REDD à mettre en place 30 Groupes de Coordination Thématiques (GCT) qui sont à pied d’ œuvre pour l’ élaboration de la dite Stratégie, à travers l’ étude des différents contours de la Redd dans nombreux domaines de la vie, notamment le secteur agricole , l’ énergie ; micro finance ,la santé, tourisme, les possibilité d’ implication des autochtones dans tous les niveau d’ intervention…Ces GCT ont la responsabilité d’ achever cette tache avant la fin du mois de juin 2011,a indiqué le Prof. KASULU.
Les séminaristes ont également retenu que l’agriculture itinérante sur brulis, l’exploitation minière et forestière sont les principales agents de la déforestation et la dégradation forestière dans le monde. Et que la déforestation comme les activités industrielles, le transport et l’urbanisation sont les principales causes de changement climatique sur la planète à cause de nombreuses GES qu’elles entrainent.
La fin de l’université avait été sanctionnée par la remise de diplôme de participation d’une part et un diplôme de mérite au 244 participants au test volontaire organisé à l’occasion.
L’ organisation de cette deuxième édition de l’ université d’ été a connu le concours matériel et financier de plusieurs partenaires étrangers œuvrant dans le domaine de l’ environnement. Parmi eux ont notamment la WWF,la UN-REDD,ERAIFT, CN-REDD ,UNESCO ect.
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