C' est chaque jours que les populations de l' Est de la République Démocratique du Congo dénoncent le braconnage d' éléphants dans cette partie du pays.ce cri d' alarme semble rencontrer sourde oreille des autorité compétentes .Pendant ce temps l' on assiste à la diparution lente mais à grande éschelle de cesce patrimoine touristique au meme titre que les des gorilles de montagne. basés au parc national des Virunga un des endroits le plus riche en biodiversité et dernier refugede ces animaux.
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Effectuée pour la plu part des cas par des groupes de miliceins en territoies des conflits, cette operation gagne du terrain dans toutes les zones des conlits à l' Est. Pires encore, certaines resrves toutristiques font l' objet d' exploitation des minerais et de coupe de bois,parfois sur instructions des membres du gouvernement . Il y a lieu de ce demander à quels coins de la RDC sont finalement postés les element des Fardc, de la Police Nationale Congolaise ou la Monusco?
L' Est de la RDC deveint donc le thetre de totes les bevures. Un espace à l' image d'une salle de jeu et de danse mise à la portée des invicviques de toutes categories. La recente infractio c' est celle que denonce la société civile de Mambasa, à 168 kilomètres au Sud de Bunia dans
l’Ituri (Province Orientale) les Maï-Maï du
chef miliciens Morgan d’exterminer les éléphants dans la réserve de
faune.
Des sources proches de cette structure indiquent que ces miliciens
ont abattu deux cents pachydermes en l’espace de deux semaines.D'apares Martin Mangala,
président de la société civile de Mambassa,
ce braconnage d’éléphants s’opère dans les villages de Bandisende,
Mamopi, Salate, Badengaido, Nduye et autres.
« Deux cents éléphants en deux semaines est un véritable danger pour les éléphants», se plaint Martin Mangala, accusant ainsi certains chefs locaux de complicité.
Il accuse également les hommes de Morgan d’exploiter illégalement l’or dans les chefferies de Walese Karo, Bandaka et Bombo.
Les responsables de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) confirme egalement cette
Un autre site menacée,est la réserve d’Epuluaffirme la societé civile loacle soutenue par l 'ONG internationale Greenpeace.Cette derniere s’oppose à la décision du ministre
congolais des Hydrocarbures autorisant l’exploitation pétrolière à
l’intérieur du parc national de Virunga. La chargée de campagne forêt
de cette structure, Irène Wabiwa a déclaré a Radio Okapi, jeudi 27 septembre ,que les
activités pétrolières ont un impact négatif sur la biodiversité et
l’habitat.
Le gouvernement contredit dans son plan d' actions
Le ministre des Hydrocarbures, Crispin Atama Tabe, a annoncé, samedi 22 septembre, que la compagnie britannique Soco International
devra effectuer des repérages aériens au-dessus d’une zone proche de la
frontière avec l’Ouganda. Selon lui, la RDC cherche à développer son
secteur pétrolier, qui est aujourd’hui largement sous-développé avec
seulement 26.000 barils par jour, malgré d’importants gisements à la
fois dans l’est et l’ouest du pays.
Pour Greenpeace,
le gouvernement congolais doit respecter des conventions
internationales sur la protection du patrimoine mondial dont il est
signataire.
« Le gouvernement a signé l’accord sur le patrimoine mondial. Et
là, le gouvernement est en train d’aller à l’encontre de sa décision,
à l’encontre de sa signature qu’il a eu à apposer sur la convention
sur le patrimoine mondial en prenant cette mesure d’autoriser
l’exploration pétrolière dans le Parc National des Virunga », a affirmé Irène Wabiwa.
Selon l’article 6, alinéa 3 de la convention portant sur la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel « Chacun
des États parties à la présente convention s’engage à ne prendre
délibérément aucune mesure susceptible d’endommager directement ou
indirectement le patrimoine culturel et naturel visé aux articles 1 et
2 qui est situé sur le territoire d’autres États parties à cette
Convention. »
Le parc national des Virunga est l’un des endroits d’Afrique où la biodiversité est la plus riche et dernier refuge des gorilles de montagne.
Greenpeace dit s’opposer à l’exploitation pétrolière à cet endroit pour
protéger cette espèce menacée d’extinction, qui ne reste que huit cents
survivants dont deux cents dans le parc.
es.
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